Les 7 étapes du développement personnel

Introduction

Connais-toi toi-même, deviens qui tu es… Des maximes célèbres mais ô combien énigmatiques par leur simplicité. C’est tellement simple qu’on n’y comprend rien.

Qui suis-je ? Je vous mets au défi d’y répondre réellement. Et si vous commencez par me répondre en me donnant votre prénom et votre nom, c’est que vous n’avez pas compris le sens de la question.

Répondre à cette question s’apparente à un cheminement, celui du développement personnel. Pour décrire les sept étapes qui le compose, j’utilise la métaphore du carrosse empruntée à la Bhagavad-Gita.

Étape 1 : L’origine

Bhagavad-Gita, le carrosse est vide.

La première étape, celle où vous vous trouveriez si vous n’aviez pas encore commencé à vous poser cette question. Votre réponse alors fuserait, lapidaire, « Ben quoi, je m’appelle [prénom][nom]. Point barre. Avec quoi tu viens ? Pourquoi chercher plus loin ? Se casser la tête avec des trucs d’intello ? ». Et il n’y a pas de mal à cela. C’est une manière de voir la vie et on peut très bien vivre une très belle vie avec cette vision des choses sans que cela ne pose de problème. Il faut seulement avoir beaucoup de courage pour vivre dans cet état. Une vie de peine et d'effort, avec le sentiment d’être tout seul dans un monde anxiogène et de vivre avec l’angoisse de la mort, synonyme d’une fin inéluctable.

La métaphore de la Bhagavad-Gita serait alors juste le carrosse vide et un attelage qui symboliseraient le corps physique. Point barre.

Étape 2 : Être spirituel dans un corps matériel

Bhagavad-Gita, le carrosse est guidé par Arjuna.

« Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine. » Pierre Teilhard de Chardin.

Première (magnifique) révélation : je ne suis pas ce corps ! Je ne fais que l’habiter, le diriger. Comme, dans la Bhagavad-Gita, ce serait Arjuna qui dirige le carrosse. Il sait qu’il n’est pas ce carrosse et qu’il a le libre arbitre de le diriger là où il veut et d’en assumer pleinement les conséquences.

Le corps est là juste pour nous permettre de réaliser des expériences dans la matière, poser des actes et voir quelles conséquences cela engendre, c’est un outil d’expérimentation, sans plus.

Le corollaire de cela, c’est que quand le carrosse est usé, on sait qu’on peut en sortir pour réintégrer un autre tout neuf. C’est le concept de la réincarnation. C’est la bonne nouvelle. La mort n’est pas une fin, juste un passage vers autre chose.

Vous n’êtes donc [prénom][nom] que temporairement, le temps d’une vie, d’un battement de paupière. Vous ne l’êtes pas vraiment en fait, vous ne faites juste que jouer ce rôle.

La mauvaise nouvelle est que vous vous rendez alors compte que vous êtes quelque chose d’immatériel, que l’on appelle une Âme, ancrée dans un corps physique. C’est flippant car comme c’est intangible, vous ne maîtrisez plus ce que vous êtes. Vous perdez tous vos repères.

Vous pensez être matériel comme la pierre, énergique comme la plante, émotif comme l’animal, doué de raison comme l’homme mais à ce point de la réflexion, vous pourriez vous demander si vous n’êtes pas plus que cela, en fait ?

Étape 3 : Corps, Âme et Esprit

Bhagavad-Gita, le carrosse est guidé par Arjuna, Krishna est son passagé.

N’avez-vous pas déjà expérimenté l’impression d’être deux personnes à la fois ? La première qui a peur de manquer, de perdre, de l’inconnu, stressée. Qui angoisse pour le futur, imaginant des catastrophes à venir. Qui rumine le passé, se tournant en boucle les mêmes schémas mentaux, bla bla bla. Qui critique, qui juge, qui se trouve toujours de bonnes excuses pour ne rien faire d’autre que ce qu’elle est habituée à faire, allergique au changement, qui est sombre et catastrophiste. Et la seconde qui s’émeut de la beauté des choses, qui est curieuse, qui s’émerveille, qui est joyeuse, qui aime à aider les autres, les choses simples, le rire des enfants, qui aime tout simplement.

Et si dans cette bonne vieille carcasse qu’est notre corps physique, il n’y avait pas une chose (notre Âme) mais deux (notre Âme et notre Esprit).

Dans ce cas précis, l’Âme (du latin anima, « souffle, respiration ») doit se comprendre comme tout ce qui concerne le souffle, la vie. Tous les animaux ont une Âme.

Pour ce qui est de l’Esprit, il faut le comprendre comme étant tout ce qui concerne le divin en nous. Attention, le point est important. Il ne faut pas comprendre l’Esprit comme étant le mental, l’intelligence, l’égo… Mais le Soi Supérieur, le Moi Profond, une pépite d’or recouvert de boue selon les Bouddhistes, notre étincelle de vie.

Et ce concept d’Esprit, nous le retrouvons dans toutes les religions du monde.

Et notamment dans l’Hindouisme où, dans la Bhagavad-Gita, on utilise la symbolique du carrosse. Pour une personne normale, le carrosse et l’attelage de chevaux représentent le corps physique, le cocher, c’est l’Âme (Arjuna) et le passager représente l’Esprit (ici en bleu, c’est Krishna, un avatar de Vishnou, un des trois Dieux majeurs).

Deuxième (magnifique) révélation : Il y a une part divine en nous.

Et la compréhension de certaines choses vous arrive alors : L’Âme est reliée au corps physique et disparaît à la mort de celui-ci en entraînant avec elle le mental, l’égo et l'émotionnel qui, entre autres, la composent.

Quant à l’Esprit, lui, il est immortel. Il se détache du corps lors de la mort et poursuit son chemin de réincarnation. Nous sommes donc ici sur terre pour le développer en le nourrissant de toutes les expériences faites avec notre Âme et notre corps.

Dans notre mode de fonctionnement habituel, c’est notre Âme qui a les rênes, qui décide de la façon de conduire sa vie. Et plus particulièrement l’égo qui est une partie centrale de l’Âme. Il a pour fonction de préserver l’intégrité physique de la personne. Nous nous identifions à lui. C’est sur lui que nous posons notre conscience. Et c’est pourquoi nous avons tellement peur. L’égo a peur car il sait le corps vulnérable et qu’il va disparaître, à terme, quand le corps s’arrêtera de vivre. Et comme vous vous identifiez à votre égo, vous avez peur également.

Depuis peu (en gros, l’ère moderne) et jusqu’à maintenant, notre société était basée sur la croyance que notre égo était tout seul et qu’il devait gérer notre survie par lui-même. Pour cela, il s’est créé, dès l’enfance, une représentation statique du monde dans lequel nous vivons afin de se rassurer, de se prémunir de toutes blessures, de survivre. Il a construit ses schémas mentaux sur des croyances, si possible immuables. Mais hélas erronées. Erronées parce qu’immuables d’une part et d’autre part, comme le monde est complexe, il est obligé de se faire une représentation simplifiée de la réalité. Ce qui était vrai il y a un siècle, ne l’est plus forcément maintenant. Ce qui était vrai il y a une décennie, une année, un mois, un jour, une heure, une minute, une seconde de même… L’univers est dynamique, s’en faire une représentation statique est une erreur. L’égo se crée donc des filtres qui empêchent de mener à votre conscience tout ce qui ne correspond pas à sa représentation du monde. Il doit donc constamment se battre pour faire rentrer la réalité dans la représentation qu’il s’est créé. Et c’est d’autant plus pénible que cette représentation est éloignée de la réalité.

Vous vivez donc dans notre monde avec votre réalité, biaisée par les filtres de votre égo. C’est pourquoi, quand on est dans l’égo, on agit par habitude, par conformisme, par peur, stressé, jusqu’à s’enfermer dans des prisons mentales, enchaînés, remplis d’addictions, condamnant les autres et vous victimisant, subissant les aléas de la vie et la terminant sans vraiment l’avoir vécue.

Savoir qu’il existe en vous autre chose, un Esprit, vous poussant malgré vous à réaliser de belles actions, à vous connecter aux autres, apte à l’empathie, à la bienveillance, à l’amour, au dépassement de soi et à la générosité, est la deuxième (magnifique) révélation qui se trouve sur votre chemin personnel. Mais encore faut-il que vous arriviez à vous connecter à lui.

Étape 4 : L’intuition

Bhagavad-Gita, le carrosse est guidé par Arjuna, Krishna est son passagé, il lui souffle des intuitions.

Qu’est-ce que l’intuition ? L'intuition dans sa définition serait l'accès immédiat à un savoir en dehors d'un quelconque raisonnement ou observation.

Mais comment cela fonctionne ? Certains disent que c'est un processus inconscient basé sur une expérience répétée d'un environnement stable.

Pour avoir de bonnes intuitions, il faut bien connaître son sujet, le maîtriser et faire appel à sa mémoire de manière inconsciente. Effectivement, les intuitions se produisent plus souvent quand on est dans une situation, dans un environnement que l'on maîtrise. Où on a déjà vécu beaucoup de cas différents et où on a à prendre une décision.

Mais il m'est arrivé aussi de vivre des intuitions plus grandes que moi, des intuitions que je n'aurais pas pu avoir normalement. Et cela dans des domaines que je ne maîtrise pas du tout.

C'est pourquoi je ne souscris pas à cette théorie car elle ne couvre pas tous les cas.

Il y a une autre théorie pour expliquer les intuitions : L'intuition serait le canal préférentiel pour la communication entre notre Esprit et notre Âme.

Mais comment cela fonctionne vraiment, l'intuition ?

Il faut d’abord lui faire de la place, lui permettre d’exister. Pour cela, il faut faire taire tout ce qui fait plus de bruit qu’elle. En premier lieu, les pensées générées par le mental et alimentées par l’égo. Le meilleur moyen d’y parvenir, c’est de pratiquer la méditation et cela de manière récurrente.

Pour cela, vous pouvez vous arrêter. Vous arrêtez de faire, de penser, d'organiser, de planifier, de critiquer, d'angoisser… Juste écouter. Écouter votre corps. Vous asseoir dans un lieu calme et apaisant, sans distraction et ne rien faire. Juste attendre que les informations remontent. Au début, vous n'entendrez rien et cela va vous ennuyer. Et ensuite vous allez avoir une foule de bonnes raisons d'arrêter de vous arrêter. Vous allez d'abord vous rappeler que vous avez oublié d'acheter du fromage pour le spaghetti, que vous devez prendre rendez-vous chez le dentiste, que vous devez appeler votre amie… C'est une bonne chose. Tout d'un coup, vous autorisez votre cerveau à vous faire parvenir des informations importantes. C'est un bon début. Notez-les dans un carnet afin qu’elles ne viennent plus vous perturber, vous les traiterez ultérieurement.

Ensuite, vous pouvez faire le ménage dans votre vie afin que vous n'ayez plus rien d'important à faire. Difficile à faire, ça. Surtout quand on a un gros ego et qu'on se croit indispensable.

Une fois les vicissitudes de la vie courante apaisées, vous pourrez reprendre la pose. Et recommencer à vous arrêter. Et là, d'autres informations arrivent, celles des besoins. Tiens, j'ai soif, tiens, j'ai froid… Une fois les besoins assouvis, viennent les messages « bateaux ». Tiens, j'ai mal au dos, tiens ma gorge pique, tiens mes articulations me font mal, tiens, j'ai mal de tête…

Et puis ensuite, vont commencer à apparaître de nouvelles sortes de pensées, qui ont une autre texture, une autre signature. Elles vous sembleront différentes. Ce sont des intuitions. Comment les différencier des pensées normales ? Elles sont fulgurantes, immédiates (au contraire des pensées du mental qui peuvent être construites, lourdes, remplies de justifications). Elles sont positives, lumineuses. Elles peuvent secouer, vous déstabiliser afin de vous faire bouger. Elles peuvent sembler illogiques, irrationnelles. Elles sont toujours d’une grande intelligence (souvent tellement intelligentes qu’on ne les comprend pas) et souvent d’une grande simplicité (si le message est complexe à transmettre, il sera fourni en plusieurs morceaux, le texte que vous lisez maintenant m’a été transmis sur une période de plusieurs années).

Comment utiliser cette intuition ?

Elle est particulièrement utile dans trois circonstances spécifiques :

- On me pose une question, j’ai une décision à prendre, là, tout de suite, je dois agir dans la minute, dans un sens particulier. Je m’arrête alors. Pendant 30 secondes, je ne fais plus rien, j’arrête de penser, de faire. J’attends. Et souvent une idée s’impose à moi, claire, évidente. C’est l’intuition que j’attendais.

- Il y a un problème qui persiste mais je n’ai pas d’idée pour le résoudre, il n’est pas urgent. Je vais me coucher et demain matin, une piste de solution se présentera à moi. C’est une autre forme d’intuition.

- Une irrépréhensible envie de faire quelque chose se présente à moi (téléphoner à quelqu’un, aller faire un tour, envoyer un mail, parler d’un sujet précis à une personne précise, me renseigner sur un sujet, regarder un documentaire…). Je ne sais pas pourquoi. Je le fais car j’ai remarqué que cela apportait une solution, soit à moi, soit à quelqu’un d’autre. Cette intuition est très déconcertante car on n’en comprend pas la raison, qui peut nous être fournie que des années, voire des décennies plus tard. Et quand on est ouvert à ce genre d’intuition, apparaissent alors des synchronicités. Que l’on attribue d’abord à la chance. Et puis quand on se rend compte que la chance est vraiment, vraiment, vraiment souvent là, on se dit que ce n’est plus de la chance.

Et alors une confiance en cette intuition commence à s’imposer à vous. À un tel point que vous ne la mettez plus en doute et la prenez en compte à chaque fois. Vous commencez à comprendre le dessein, la logique et les choses commencent petit à petit à s’éclaircir, à se mettre en place. C’est la troisième (magnifique) révélation : Vous vous rendez compte que vous avez auprès de vous une aide précieuse, d’une bienveillance et d’une intelligence sans limite. Là alors, vous êtes prêt pour la cinquième étape.

Étape 5 : Le lâcher-prise

Bhagavad-Gita, le carrosse est guidé par Krishna, Arjuna est son passagé.

C’est l’enseignement majeur de la Bhagavad-Gita : Laissez la conduite de votre vie à votre Esprit et profitez du voyage en restant confortablement installé dans votre carrosse.

Car c’est là la quatrième (magnifique) révélation de cette étape : Votre Esprit est une partie intégrante de vous-même. Et il est tout aussi (et même plus) apte à gérer votre vie que votre égo.

C’est à ce moment que vous vous rendez compte que tout est relié, tout est connecté. Vous n’êtes qu’un maillon d’un énorme réseau universel. Un simple maillon mais ô combien indispensable.

C’est à ce moment que vous allez pouvoir soulever votre nez de votre guidon et comprendre la beauté de l’univers, du monde, d’un brin d’herbe. Tout devient source d’émerveillement. Là, vous commencez à percevoir de magnifiques choses, inaccessibles à partir de vos cinq sens. Vous acquérez un sixième sens qui vous ouvre les portes d’un univers magnifique et totalement inexprimable avec des mots. On parle ici d’initiation. Elle peut se produire alors que l’on est encore dans des étapes précédentes de développement mais c’est dans cette étape-ci que cette initiation, qui consiste à l’ouverture du cœur, est la plus accomplie. Vous vous rendez alors compte que tout est Amour.

Et c’est là, la cinquième (magnifique) révélation.

Étape 6 : Redevenir qui nous sommes

Bhagavad-Gita, le carrosse est guidé par Krishna, Arjuna est son passagé. La consciense se pose sur Krishna

Avez-vous remarqué le halo autour de la tête d’Arjuna dans les images précédentes ? Elle représente symboliquement la conscience. Ce à quoi vous vous identifiez. Qui vous avez décidé d’être. Et jusqu’à cette étape vous aviez décidé de vous identifier à votre Âme, votre égo.

Mais maintenant, vous pouvez répondre à la question initiale : Qui suis-je ? Maintenant, la réponse peut vous apparaître : Vous êtes Esprit ! Et vous l’avez toujours été. Vous l’avez simplement oublié. C’est à partir de ce moment que vous pouvez vous dire : « Je ne suis pas cet égo ! Je ne suis pas ce mental ! Je ne suis pas cette Âme ! Je suis un Esprit, une étincelle divine ! ». Et vous aurez raison.

Vous pouvez maintenant remettre votre égo, votre mental à leurs places : être à votre service, vous aider dans vos expériences, vous permettre de concrétiser qui vous êtes dans la matière.

Donc intrinsèquement, tout au fond de vous, vous le savez, vous êtes parfait, car divin. Seulement recouvert par les différentes couches opaques de votre égo. Découvrir votre nature divine, c’est là la sixième (magnifique) révélation.

Car cela change tout dans votre rapport au monde. Vous êtes Esprit immortel venant faire des expériences. Vous n’êtes pas votre égo, vous êtes aidé par lui. Donc, rien de grave ne peut vous arriver, pas même la mort, pas même la souffrance (bon, je sais, souffrir, ce n’est pas gai et personne n’a envie de souffrir, mais quand on se place au niveau de son Esprit plutôt que de son Âme, on peut se dire que cette souffrance n’est qu’une expérience comme une autre et qu’elle ne durera pas). Vous vous reconnectez à l'ici et le maintenant, chaque instant devenant alors potentiellement magnifique.

Plus de peur, plus d’angoisse, plus de critique, de jugement, de stress. Vous pouvez commencer à les faire taire et êtes prêt pour l’étape ultime.

Étape 7 : L’illumination

Bhagavad-Gita, le carrosse est guidé par Krishna.

Cette dernière étape ne nécessite que peu de commentaire car l’image parle d’elle-même.

Au lieu de parler de développement personnel, certains parlent de dépouillement personnel, celui de l’Âme. Durant ces sept étapes, vous allez tout naturellement devoir vous confronter à la partie sombre de vous-même afin de la transmuter. Vous allez devoir guérir une par une toutes les blessures enfuies. Celles de votre enfance, celles de vos vies antérieures, celles léguées par vos parents et vos ancêtres. Vous allez devoir vous alléger de tous ces fardeaux afin de vous en dépouiller comme on enlève les couches d’un oignon, ce qui aura comme conséquence, entre autre, de calmer votre égo, une paix intérieure fera alors son apparition, ainsi qu’une joie immense et une plus ample perception du monde qui nous entoure. Il n’y aura plus de problèmes, plus de dualité, seulement des choses à expérimenter. On parle ici parfois de la dissolution de l’égo, de l’illumination.

Petit à petit (et pas seulement dans cette ultime étape), vous allez passer d’une vie de manque et de compétition à une vie d’abondance, de coopération, de don. Auparavant, vous étiez un puits et vous drainiez toute l’énergie, l’amour autour de vous. Maintenant, vous devenez source et répandez l’énergie et l’amour autour de vous et cela à profusion, sans compter, car vous vous savez être connecté en permanence à la Source.